Ajustage, 2003

Notre regard suit quelqu’un, interrompu de plus en plus par les murs de la ville ou le cadre. A mesure qu’il perd de sa visibilité, un son, un sifflement, ou chant, dû à une résonance, émerge et grandit.

Inspiré du rythme répétitif de cette fuite, ce son lui donne à son tour le rythme de son épuisement oscillant. L’image effleure l’oeil, le masse, et le tend jusqu’à le relâcher dans le vide des espaces traversés.

avec Daniela Sergieva